J’adore les gants. Je vous en parlais déjà là, et depuis j’ai commandé (pour Noël, sur une liste, comme les petits) ma première paire de gants Aristide, qui viennent agrandir ma collection vintage et maison Fabre. Les voilà les jolis, que vous avez peut-être déjà croisés sur mon instagram, entrain de croquer une baguette ou une plante verte…
Un petit aperçu de la toute jeune marque, que vous pourrez retrouver sur leur site internet :
« Aristide est né en 2010, de l’envie de rafraîchir l’accessoire qu’est le gant en cuir, le travailler autrement, et en faire une pièce indispensable de toute garde robe. Aristide utilise un savoir-faire historique, tout en y ajoutant une vision plus contemporaine, plus artistique. Les inspirations de la maison sont issues de l’Art, des Sciences, de l’Architecture, et de la Nature. Les collections respectent l’héritage de la tradition, tout en insufflant originalité et modernité par des coupes et des volumes cultivant la différence. Parvenir à l’équilibre précieux entre beauté et fonctionnalité, tradition et avant-gardisme. »
Pour connaître les points de vente, c’est par ici : contact@aristide-collection.com
Et The Closet Boutique a fait une très chouette série photos, à voir ici !
2 Comments
Catherine
18 mars 2013 at 22 h 52 minje craque !!! J’adore aussi les gants, je les perds beaucoup, j’ai des pires devenues célibataires au fond de mes sacs, j’en retrouve parfois.
La femme invisible | Mzelle-Fraise
6 novembre 2013 at 10 h 51 min[…] J’ai rencontré il y a 3 ans déjà Virginie de The Closet Boutique. À l’époque j’étais déjà très très fan de ses visuels : elle mettait en scène son dressing, et vendait certaines pièces. Je l’avais d’ailleurs rencontrée pour lui acheter des chaussures ^^ Et puis ensuite, j’avais fait une petite interview pour le blog (que j’ai perdue comme pas mal de mes archives qu’il faudrait que j’extirpe des entrailles de mes dossiers de sauvegarde…) lors de laquelle j’avais pris le pola ci-dessus. Depuis, je suis avec attention son blog, et grâce à cette série photo, dont celle ci-dessous est extraite, j’avais découvert les gants Aristide. […]