© Le Pacte
Ça faisait un moment que je n’avais pas parlé cinéma ici ! Pourtant, je vais au cinéma une à deux fois par semaine (vive les cartes illimitées !) et j’ai la chance d’être (relativement) proche de salles intéressantes : le cinéma des cinéastes, le Louxor et l’UGC ciné cité les Halles.
Je passerai sur les films qui m’ont laissée dubitative (La vie d’Adèle… l’avez-vous vu ?) et je reprends donc avec le très sensible Tel père, tel fils de Hirokazu Kore-eda, lauréat du prix du jury au dernier Festival de Cannes.
J’ai vraiment beaucoup aimé ce film japonais, qui parle de la filiation, celle du sang mais surtout celle du cœur. C’est un sujet ardu, mais il est ici très joliment et subtilement traité. Et puis, l’image est belle, elle laisse la place à la contemplation. Ça m’a donné envie de découvrir ses précédents films Air Doll et Still walking, et de revoir Nobody knows !