© Le Pacte
Ça faisait un moment que je n’avais pas parlé cinéma ici ! Pourtant, je vais au cinéma une à deux fois par semaine (vive les cartes illimitées !) et j’ai la chance d’être (relativement) proche de salles intéressantes : le cinéma des cinéastes, le Louxor et l’UGC ciné cité les Halles.
Je passerai sur les films qui m’ont laissée dubitative (La vie d’Adèle… l’avez-vous vu ?) et je reprends donc avec le très sensible Tel père, tel fils de Hirokazu Kore-eda, lauréat du prix du jury au dernier Festival de Cannes.
J’ai vraiment beaucoup aimé ce film japonais, qui parle de la filiation, celle du sang mais surtout celle du cœur. C’est un sujet ardu, mais il est ici très joliment et subtilement traité. Et puis, l’image est belle, elle laisse la place à la contemplation. Ça m’a donné envie de découvrir ses précédents films Air Doll et Still walking, et de revoir Nobody knows !
3 Comments
Tahiana - le blog d'Olive
23 janvier 2014 at 19 h 30 minJ’étais surprise de n’être encore tombé sur aucun post à propos de ce film. J’ai beaucoup apprécié la façon dont le thème est abordé, bien que j’ai au début eu du mal à ne pas faire le rapprochement avec « La vie est un long fleuve tranquille ».
mzelle-fraise
24 janvier 2014 at 10 h 39 minOui, c’est vrai que le thème fait penser aux Groseille et aux Le Quesnoy :)
nanikaa
24 janvier 2014 at 13 h 21 minJ’avais prévu de le voir, car je ne vais plus beaucoup au ciné, d’où une sélection très précise des mes choix cinématographiques, et celui-là je ne voulais pas le rater, mais la grippe m’a rendu visite…
Du coup il faut vite que je me reprogramme ça mais il ne se joue déjà presque plus.
Allez, je vais revisionner « Nobody knows » pour la 10e fois ce weekend pour me consoler.