Pendant ce week-end de Pâques, un peu prolongé, je suis allée piquer un bout de printemps à Istanbul, avec mon ami The Home Cowboy. J’avais déjà vu cette ville en photo et dans les films, mais je n’ai réalisé qu’une fois sur place à quel point c’est une cité grouillante et photogénique, européenne et asiatique, épuisante mais magique. Il est difficile de s’y déplacer, les rues sont saturées, les trams sont bondés, les bateaux peu fréquents et les bus coincés dans les embouteillages. Alors, la cadence s’assouplit, et on profite d’un des derniers luxes accessibles : prendre son temps. Ne pas tout faire en une journée, et tant pis si on n’aura pas tout vu, on aura croisé l’essentiel en se perdant dans les rues et en s’attardant autour d’un thé. Et surtout, on reviendra ! Voilà donc un premier billet, rempli de photos « carte postale », celles qui disent juste maladroitement la magie que l’on ressent en découvrant un endroit, avant d’en gratter la surface.
La lumière est belle à Istanbul, dès qu’il y a un rayon de soleil, du matin à l’heure bleue, ou encore après la pluie, lorsque le ciel rosit. 
Évidemment, les fleurs ! Et particulièrement les tulipes, si célèbres. La ville n’est pas très verte, mais en revanche, elle est fleurie.
Les chats ! Ils sont partout, ils se baladent, des bols de croquettes les attendent dans les rues, et mêmes de petites maisons. Continue Reading
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